Le japonais dans tous les sens

Dictionnaires de japonais

Je vais vous révéler un petit secret. Lorsque j’écris des articles sur Kotoba, il y a un outil que j’utilise absolument : un dictionnaire. Et j’insiste sur le déterminant “un” puisque dire “le dictionnaire” est un abus de langage. En effet, ceux-ci sont divers et variés surtout lorsqu’il s’agit d’une langue comme le japonais. Ce dossier a pour but de vous guider dans votre choix car entre ceux traditionnels en papier, les électroniques ou les applications smartphone, il y en a du choix justement ! 😀

Sommaire :

1) Les dictionnaires papier

2) Les dictionnaires électroniques

3) Les dictionnaires en ligne

4) Le dictionnaire intégré à la Kindle d’Amazon

5) Les applications dictionnaire pour smartphone

Conclusion générale

Voilà, on arrive à la conclusion de ce guide. Que dire ? Déjà si vous ne voulez pas débourser d’argent et que vous êtes bon en anglais, autant aller sur un dictionnaire en ligne japonais-anglais comme Weblio ou Dictionary.goo en attendant que Wiktionnaire s’améliore (si cela arrive un jour). Autrement, si comme moi vous préférez avoir du français, les applications smartphone peuvent dépanner mais sont clairement insuffisantes à mes yeux. Que ce soit pour les débutants nécessitant des explications ou ceux ayant un niveau plus confirmé voulant plus de précision et clarté.

Après, si vous êtes débutant non anglophone et que vous êtes prêt à débourser une petite somme (23€ environ), le seul dictionnaire papier que je peux vous recommander actuellement est celui d’Assimil qui semble suffisamment explicite d’après mes tests. Pour le reste des dictionnaires papier parus en France pour un public français, c’est de l’argent jeté par les fenêtres et mieux vaut se tourner vers un dictionnaire gratuit en ligne comme WordReference (pour le sens français-japonais du moins).

Ensuite si vous avez un bon niveau de japonais ou que vous êtes étudiant, la solution du dictionnaire électronique semble être la plus adaptée. Surtout que de nos jours, ils sont beaucoup plus abordables qu’auparavant (entre 40 et 80 € d’occasion selon le modèle). En plus de fournir de très bons dictionnaires que ce soit dans le sens japonais-français et français-japonais, leur ergonomie est vraiment bien pensée. Le fait de pouvoir switcher d’une seule pression entre les différents dictionnaires (japonais-français, japonais-anglais ou japonais-japonais) est un avantage conséquent.

Enfin si vous êtes un gros lecteur comme moi et que vous privilégiez l’aspect pratique tout-en-un, l’acquisition d’une Kindle est également à envisager pour lire des ouvrages en japonais. Surtout que je n’en ai pas parlé mais les mots que vous recherchez sont directement enregistrés dans un bloc-notes appelé “Vocabulaire interactif”. Celui-ci est consultable à tout moment, ce qui est sympa pour ceux qui veulent réviser par la suite.

Voilà, j’espère que ce guide vous aura guidé (^^). Je remercie encore ceux et celles qui ont participé à son élaboration en me fournissant des scans. Il sera mis à jour dès que j’aurais la connaissance d’autres dictionnaires dignes d’intérêt et je vous encourage à me contacter si vous voulez que je teste un autre dictionnaire.

36 réponses

  1. bonjour,

    merci pour ce gros travail. En suggestion, il pourrait être intéressant de regarder aussi du côté des dictionnaires sur téléphone mobile (application). Personnellement, je les utilise pas mal.

    1. Bonjour,

      J’en parle à la fin dans la conclusion générale. Le problème, c’est que je n’ai rien vu de concret pour ce qui est du français. Ce sont à chaque fois des dictionnaires très simplistes qui proposent des traductions sans explications. Pour l’anglais, je n’ai pas beaucoup regardé vu que je comptais me focaliser sur le français dans ce guide. Mais dites moi ceux que vous utilisez et j’irai jeter un oeil ! 🙂

  2. Merci pour cet article intéressant. Sur smartphone j’utilise l’application “imi” comme dictionnaire anglais – japonais. Avez-vous un avis à son propos ?

  3. Merci pour cet article ! 🙂 Je vais continuer à jongler entre les dico, je crois.

    Par contre, il existe une application “dictionnaire hors-ligne” qui propose du japonais – français 🙂

    1. Cette application ne semble pas vraiment au point pour le japonais d’après les commentaires que j’ai pu lire. Mais j’irai quand même jeter un oeil d’ici la semaine prochaine. Merci ! 🙂

  4. Merci pour ce guide très complet ! Ça sera utile.
    Sur smartphone j’utilise Takoboto, il est aussi collaboratif, peut s’utiliser hors ligne et peut être couplé à AnkiDroid (ajout automatique de flashcards). Il y a des phrases d’exemple issues du projet Tatoeba et une recherche de kanji par radicaux. On peut écouter la prononciation générée avec la synthèse vocale de Google directement dans l’appli. Toutes les entrées ne sont pas traduites en français, mais comme pour Wikipédia, ça ne tient qu’à nous… 😉

    1. Effectivement, cette fonctionnalité avec Ankidroid semble sympa. Après il y a plusieurs choses qui me dérangent. La première, c’est que ça a pas l’air intuitif pour modifier les fiches en traduisant simplement la version anglaise par exemple. Pour sensei, on a trois sens dont “with names of teachers, etc. as an honorific”. Impossible de proposer une version française en dessous… La seconde, c’est le fait de séparer les phrases d’exemple du reste. Pour moi, c’est mieux qu’elles apparaissent en dessous de chaque sens, comme le font les dictionnaires électroniques. Ca peut sembler être un détail mais voir des phrases d’exemple proposées comme ça en vrac, je trouve ça un peu bordélique. On peut faire mieux quoi…

      J’attends donc de voir un projet vraiment bien pensé dés le départ, là j’ai l’impression que c’est toujours un peu confus. Wikitionnaire me semble bien mieux fait à côté, il faudrait donc une application basée sur ce dictionnaire. Ah bien je viens de voir qu’il existait Wiktionary pour Android. Je jetterai un oeil d’ici la semaine prochaine alors… ^^.

    1. Ah oui, je me rappelle qu’un ami m’avait montré ça quand j’étais à la Fac. C’est pratique effectivement quand on ne sait pas lire les kanjis mais j’ai du mal à voir ça comme un dictionnaire (même s’il propose une fonction dictionnaire). Dommage que ce soit en anglais aussi…

    1. J’avoue que je suis dubitatif là… J’ai téléchargé la version gratuite et je suis incapable depuis tout à l’heure de faire une simple recherche dans le dictionnaire avec le clavier. J’arrive uniquement à faire une recherche en utilisant l’outil pour tracer les kana/kanjis. Donc déjà je le trouve mal pensé dans son ergonomie (ou alors c’est mon téléphone qui bugue) et puis de toute façon, ça m’a paru totalement fouillis en cherchant “sensei”. Bref, je ne suis pas du tout convaincu là… ^^

    1. D’accord. Non je ne ferai pas d’article sur les applis mais je compléterai ce dossier, autant avoir un tout en un.
      Et puis entre nous, aucune appli ne me convient vraiment tant au niveau de son “potentiel” que dans ce qu’elle propose actuellement.
      Mais je trouve tout de même intéressant de vous donner mon avis avec des arguments donc ça mérite d’en faire une partie. Si ce que j’écris peut donner des idées aux futurs développeurs, c’est toujours bon à prendre.

      Enfin pour le moment, seul le Wiktionnaire me paraît vraiment prometteur, dommage que son appli associé (Wiktionary) ne soit pas sans défaut. Bien qu’elle soit parfaitement utilisable, je trouve qu’il y encore des améliorations à faire au niveau de l’affichage (par exemple faire une option pour cacher les termes “modifier” qui apparaissent partout).
      Je vais essayer de faire cette partie dés que je peux, laissez moi un peu de temps avant pour souffler un peu, ah ah. 🙂

    1. Je l’ai justement trouvé plutôt mauvais celui là alors qu’il est assez connu. Par exemple en tapant 先生 dans la barre de recherche, on a une première entrée “sensei (せんせい)” en premier puis une seconde senjô (せんじょう) sans préciser que ce dernier est un archaïsme. Pas de phrases d’exemple, des traductions indiquées les unes à la suite des autres sans réel logique… C’est bien pour dépanner et c’est toujours mieux qu’un mauvais dictionnaire papier comme le Petit Fujy mais c’est tout.

      Le sentiment général que j’ai, c’est que la plupart des applications pour smartphone se ressemblent sur le fond avec les mêmes traductions reprises un peu partout. Logique parce qu’elles sont “libres de droit” il me semble. Elles se distinguent uniquement sur la forme avec une qui aura plus de fonctions que l’autre, qui s’utilisera plus facilement…

      Bref, on voit qu’elles ont été crées par des développeurs dans leur coin et non en partenariat avec des linguistes ou des lexicologues. Tout d’abord pour une raison de côut mais aussi de temps. Réaliser un dictionnaire est en effet une tâche faramineuse ! Du coup on compte sur l’aspect communautaire pour que les utilisateurs enrichissent la base de donnée, ce qui donnerait au final un dico intéressant. Le problème, c’est que si l’application est mal pensée dés le départ pour la présentation des entrées, c’est peine perdue…

      Moi je pense vraiment qu’il serait utile voir nécessaire d’indiquer une définition même courte pour chaque sens du mot. Par exemple avec “sensei”, je trouve ça plus logique d’indiquer dés le départ pour le sens 1 “personne qui enseigne” et seulement après d’indiquer les traductions possibles. Un dictionnaire se doit d’être le plus clair et explicite possible. Lorsqu’on consulte un dictionnaire français, on a bien des définitions. Pourquoi c’est presque jamais le cas pour les dictionnaires bilingues ? Pour les dictionnaires papier, ça s’explique facilement : contrainte de place, on ne peut pas faire un dico à 5000 pages. Mais pour les applis et dicos en ligne, cette excuse ne marche plus.

      Bref, désolé d’avoir dérivé un peu, j’en reparlerai quand j’écrirai la partie sur les applis smartphone je pense ! 🙂

  5. Remerciement..oui il n y a pas un véritable dictionnaire “sérieux” français japonais et japonais français
    sur la tablette j ai le petit royal et le robert..du point de vue du japon.
    je n ai pas regardé l assimil aussi
    je m y interesserai lorsque je me rendrai sur Paris début 2018

    1. Après j’avoue que j’ai très peu d’informations sur le Petit Royal par exemple, je ne sais pas s’il a été écrit pour des japonais ou pour des français. Vu que la couverture est en japonais (enfin le bordereau autour), j’ai un doute.

  6. Bonjour, merci pour cet article très complet ! Je ferai quelques remarques sur la partie en ligne et smartphone. Pour le papier et dico électronique, je passerai par le mail, car, c’est trop long ici.
    Donc en ligne, je peux dire pour avoir cherché que Rikaichan ne sera malheureusement pas porté sous Firefox quantum, je donnerai mes sources.
    Concernant les applis smartphone, en français, je signale pour iOS, imiwa ? (pas seulement français)
    Et pour Android, il y a Tenjin (dédié au français !) voire Aedict3 (ce dernier pas 100% français).
    Je vous laisserai nous dire ce que vous en pensez dans votre article spécifique.
    Merci !

  7. Salut Guilhem, comme tu m’as fait une très bonne réponse à mon commentaire sur le mot d’aujourd’hui je voulais te rendre la pareille en te transmettant un site que j’utilise comme dictionnaire en ligne : il est en anglais donc il ne rentre pas dans l’étude que tu as faite ici cependant il est pour moi “valable” et vaut au moins le coup d’oeil. http://www.romajidesu.com/dictionary/.
    A demain !

    1. J’en prends compte pour la mise à jour de ce dossier alors !
      Je donne mon avis rapidement : dans sa forme, il est pas mal effectivement. Par contre concernant son contenu, c’est pareil que tous les autres dictionnaires : de l’open source pris à droite à gauche. Donc c’est bien l’open source parce que c’est gratuit mais au final, j’ai surtout l’impression que tout le monde propose la même chose… Hors c’est pas comme ça qu’on améliorera les dictionnaires, juste en croisant les bras et en disant “à vous d’ajouter du contenu, youpi”. Encore faut-il que les gens aient envie d’ajouter du contenu et pour ça, je pense qu’il faut créer des règles pour que ce soit propre et que ça ne parte pas dans tous les sens. Bref, j’en reparlerai dans le dossier avec la partie sur les applications mobile je pense ^^.

  8. Salut, je n’ai pas regardé l’ensemble de ce que tu a écris et il ne me semble pas avoir vu d’essai concernant l’application Takoboto sur Android que je trouve fort utile.

    1. Il va falloir que je fasse une grosse mise à jour de ce dossier de toute façon. Déjà au niveau de l’affichage, je pense qu’il faudrait que je mette des balises “spoiler” car il est très long. Et vous êtes plusieurs à m’avoir parlé d’applications donc il va falloir que je les teste une à une pour voir ^^.
      Je précise quand même que je me suis surtout intéressé aux dictionnaires franco-japonais. Apparemment, Takoboto est pensé en anglais à l’origine d’où ma remarque. De plus, je sais que la plupart des applications proposent “plus” qu’un simple dictionnaire (écritures et révision des kanjis par exemple) mais je préfère me concentrer sur l’aspect dictionnaire. Je dis ça aussi car souvent, on se retrouve avec une application couteau suisse qui est en apparence pratique mais qui au final est perfectible pour sa fonction principale.

      Bref, j’espère pouvoir faire la mise à jour le plus tôt possible dans l’année ! 🙂

    1. Du peu que j’ai vu, c’est exactement le même constat que pour toutes les applis dictionnaires : c’est du contenu open source. C’est à dire que vous trouverez les mêmes traductions à peu de choses près quelque soit l’appli. Etant donné que cela prend un temps monstrueux de proposer des traductions “personnalisées” (ou encore des définitions), et bien tout le monde récupère ce qui est gratuit et le tour est joué. Ainsi, les applis se différencient surtout avec leurs fonctions/design plutôt que sur leur contenu. Le problème étant que ce contenu open source est assez perfectible selon moi. Mais je peux me tromper donc il va falloir que je télécharge les applications une à une histoire de faire des tests plus poussés. Merci pour la découverte en tout cas 🙂

  9. bonjour pour ma part celui qui de démarque des autres c’est l’appli AKEBI qui à certes la même base dictionnaire que les autres mais plein de phrases exemple une decomposition des kanjis et un export vers Anki

  10. Bonjour,
    Avez-vous testé l’application Nouveau Petit Royal (4e édition)? Je l’utilise depuis plusieurs années sur iOS, je ne sais pas si elle existe pour Android. C’est un très bon dictionnaire (payant), qui marche dans les deux sens Fr-Jp et Jp-Fr, même s’il est conçu pour les Japonais et que les précisions sont donc en japonais. Il y a bien sûr des petites imperfections, des phrases en français pas toujours très naturelles, mais à ma connaissance c’est le meilleur.

  11. Je viens de voir que vous en parliez dans l’article sur les dictionnaires électroniques 🙂
    Personnellement je n’ai jamais été utilisateur de dictionnaire électronique, rebuté d’abord par leur prix (c’était il y a une dizaine d’années), mais aussi l’encombrement, j’admire les Japonais que je connais qui se baladent toujours avec. L’avantage du smartphone c’est qu’on l’a toujours sur soi, pas besoin de stylet ou de recharger un appareil supplémentaire. Par ailleurs l’affichage des denshijisho m’a toujours semblé un peu austère.

    Je reconnais cependant que pour une utilisation sédentaire le fait d’avoir un clavier est un plus. Au final, je travaille avec le Petit Royal sur smartphone en complément du 新和英大辞典 en anglais mais plus complet. Et aussi le site 英辞郎/alc pour les phrases d’exemple, qui propose aussi une appli. Peut-être que je passe à côté de quelque chose en me privant de dico électronique…

    1. En fait pour moi, il faut aussi voir le gros gain de temps que peuvent donner les dictionnaires électroniques en plus des bons dictionnaires numérisés qu’ils proposent.
      Pour ma part, j’ai de gros doigts et j’ai jamais vraiment pu me faire au tactile sur Smartphone. En plus de ça, il faut sortir du mode veille, j’imagine qu’il y a une petite latence dans l’application en question (jamais testée)…

      Et surtout, avec un dictionnaire électronique, c’est tout en un. Concrètement, si je tape un mot japonais au hasard comme “便利”, et bien je peux switcher entre les dictionnaires juste en appuyant sur les touches correspondantes. En gros il y a une touche “dico jap-fr”, une autre “dico jap-en” et une autre “dico japonais (définition en japonais). Là où sur un ordinateur ou smartphone, on est obligé d’utiliser plusieurs sites/applications en faisant plusieurs recherches, là c’est instantané quasiment. Donc pour celui qui fait de la traduction et qui a besoin d’aller vite, je conseille l’usage d’un dictionnaire électronique.

      Le seul gros défaut qui font que je suis obligé de faire des recherches avec mon ordinateur, c’est que les dictionnaires japonais-français ont bizarrement un faible nombre d’entrée (contrairement au sens français-japonais) et on a pas tous les mots. Quand ce sont des mots trop littéraires/anciens, cela ne pose pas toujours de problèmes car on les trouve soit dans le dictionnaire japonais-anglais plus fourni soit dans celui japonais. Par contre pour tous les néologismes récents (genre j’ai une proposition comme そのショートカットを長押ししてドックバーにドラッグアンドドロップするんですが), je suis bien obligé de faire des recherches Google.

      En résumé, je trouve les dictionnaires électroniques très pratiques mais on est quand même obligé d’utiliser à côté un ordinateur si on tombe sur un mot trop récent. L’idéal serait un dictionnaire électronique qui se mette à jour chaque mois avec une IA qui créerait automatiquement des définitions et traductions à chaque fois. Oui je rêve… :p

      1. Effectivement le côté pratique du dico électronique est un bon point. Sur un smartphone le switch incessant entre appli, et aussi entre clavier français et kana-pad (j’ai aussi des gros doigts et la saisie du japonais sur un clavier romaji tourne vite au cauchemar) est assez pénible. Il faudrait que j’emprunte un dico électronique pour faire l’essai en “conditions réelles”.

        À toutes fins utiles je viens de voir que l’éditeur de l’appli Petit Royal propose maintenant une appli unique (辞書 by 物書堂) qui permet de switcher facilement entre tous les dictionnaires qu’il propose: Royal et Robert pour le français, et aussi un certain nombre de dicos anglais-japonais et d’autres langues, et aussi tout japonais. Il faut juste les acheter :]. En revanche ceux qu’on a déjà achetés par ailleurs peuvent être téléchargés gratuitement.

    1. Clairement pour lire des livres en japonais, j’ai pas trouvé mieux que la Kindle pour le moment niveau confort (l’écran ne fatigue pas les yeux et les deux dicos intégrés jap-en et jap-jap sont suffisants).
      Cela fait longtemps par contre que je n’ai pas lu un livre en japonais, faudrait que je m’y remette… oO

  12. Bonjour,
    J’ai trouvé un bon site de dictionnaire français-japonais, japonais-français en ligne gratuit.

    https://kotobank.jp/dictionary/ppjf03/

    Bien que l’interface de ce site soit en japonais, son utilisation n’est pas difficile et il est recommandé de vérifier d’abord le contenu du site Web en utilisant une traduction en ligne.
    Malheureusement, étant donné que la source des données fournies est un dictionnaire portable, la quantité de mots contenus n’est pas importante. (Pour le japonais-français)
    Même ainsi, il sera plus précis que les autres dictionnaires en ligne.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *